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Changements climatiques

La modification du climat mondial n'est aujourd'hui plus un secret pour personne: après des décennies d'attitude négativiste envers cette révolution silencieuse, les pouvoirs publics semblent enfin se pencher sur le phénomène. Mais loin de prendre le problème à bras le corps en acceptant d'opposer ouvertement activité productiviste et intérêt écologique, le gouvernement mondial constitués des 10 plus grandes puissances économiques de la planète, se contentent de culpabiliser le consommateur et de financer des programmes de recherche, qui permettent de gagner du temps et de l'argent, et dont les conclusions sont déjà connues.                      Il en va aujourd'hui de l'avenir de l'humanité dans son entier et non de celui de la planète, car la nature saura s'adapter là où l'homme périra à coup sûr: les dinosaures, nos ancêtres en témoignent par leur brusque disparition liée à une modification climatique aussi brusque que prévisible.                                                                                                                                                                       Prévisible ? Et oui, car qui sait si nos gouvernants n'ont pas raison en négligeant concrètement d'agir en faveur de la baisse des gaz à effets de serre ? Au delà de l'impact économique sur les macro intérêts en jeu (déjà 340M€ de perte sur les bénéfices de l'état, lié à la baisse de vente de produits pétroliers en France), nos gouvernants ne prennent-ils pas en considération une recherche officiellement atypique mettant en cause bien d'autres facteurs de responsabilité du réchauffement planétaire que celui des gaz à effet de serre. L'activité solaire étant l'épicentre d'un phénomène qui s'avèrerait cyclique...      
Prenons le temps de la démonstration: pensez-vous tout d'abord que les gaz à effet de serre (en particulier le CO2 de nos automobiles) soit aujourd'hui produit en plus grande quantité que lorsque la planète était recouverte de volcans en éruption aux quatre coins du globe? Pensez-vous que les éruptions solaires sans commune mesure avec ce que l'homme à jusque là connu, soient négligeable ? La baisse du magnétisme terrestre est-elle un facteur à négliger ?         

Aujourd'hui il apparaît clairement que l'impact des vents solaires est bien supérieure à celle des GES (gaz à effet de serre): combinés à la baisse sensible du magnétisme terrestre, le réchauffement climatiques semblerait irréversible et surtout cyclique et naturel...! Une étude produite par K.A. Maasch de l'Université du Maine met en évidence l'influence minime de ces fameux gaz. Comme vous le savez le bouclier magnétique (cf.énergie terrestre) permet de détourner le rayonnement cosmique et surtout les effets excessif du rayonnement solaire. Sans cette protection notre sort serait celui de la Lune ou de Mars dont les surfaces furent progressivement réchauffées puis asséchées. La baisse de l'intensité de ce bouclier de l'ordre de 40 à 60% depuis 2500 ans selon les études est dès lors une composante majeure dans les changements que nous traversons aujourd'hui.                 Influences combinées donc de la baisse du magnétisme terrestre et de l'hyper activité solaire, qui vont enclencher un processus invariable d'évaporation des eaux provoquant l'augmentation de la masse nuageuse et des nébulisats interdisant la dispersion de la chaleur accumulée par la terre la journée, donc accroissement encore et encore de la température du globe... Les conséquences nous les connaissons puisqu'elles font la une des médias participant à la campagne de panique génératrice de nombreuses manipulations en cours et à venir: la plus impressionnante, la fonte des pôles, risquant de provoquer la disparition du Gulf Stream qui gère notre climat occidental européen voire mondial dans son ensemble. La dernière glaciation connue sur terre semble de plus en plus sûrement avoir été provoquée par ce mécanisme. Le constat est d'ores et déjà acquis et nous en faisons l'expérience chaque jour  "Y' a plus de saisons, mon pauv' monsieur".

Une attitude responsable consisterai à accepter d'observer de façon impartiale et objective les macro phénomènes planétaires puis de se préparer à ces cycles naturels avec humilité et adaptation: deux mots qui semblent rayés du dictionnaire de l'homme moderne, mammifère dominant la chaîne alimentaire. Commencer par informer la population sur les causes réelles de ces phénomènes, afin d'en tirer une attitude responsable dont celle de moins polluer (autant ne pas en rajouter), serait une garantie supplémentaire de ne pas nous voir dégringoler de notre échelle de dominant. Car ne nous y trompons pas: plus l'on est haut sur la chaîne alimentaire, plus on dépend des composantes sous-jacentes...

De tout temps, la connaissance à été source de liberté pour l'individu et donc de tout temps les pouvoirs en place se sont efforcés de taire les causes réelles des évènements majeurs pour la population: plus aisé de créer des marchés de consommation basé maintenant sur l'écologie et la culpabilité... S'informer est le premier pas vers une action consciente et responsable envers notre environnement, car sans lui nous ne sommes plus.

D'ici à ce que ça bouge, changez de voiture pour une moins polluante, ça fait marcher l'économie et ça donne bonne conscience...

 

 

 

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